Les cartes japonaises ne sont pas seulement moins chères. Elles sont mieux imprimées, respectent l’oeuvre des artistes et naissent au berceau même de Pokémon : le Japon.
Je m’appelle Léo, et je suis le fondateur de Mymésis.
Comme beaucoup, j’ai collectionné les cartes Pokémon pendant l’enfance. Puis j’ai grandi… et, comme beaucoup, j’ai arrêté.
Mais un jour, je suis retombé dedans. Et cette fois, avec un autre regard.
Ce que je voyais n’était plus juste des Pokémon puissants ou rares.
Ce que je voyais, c’était de l’art. Des compositions sublimes. Des couleurs insensées. Des artistes trop souvent oubliés.
J’ai commencé à creuser. À reconnaître les styles. À faire des vidéos sur ces illustrateurs de l’ombre.
Et puis j’ai découvert les cartes japonaises. Meilleure qualité. Meilleures impressions. Meilleure intention.
Là, ça a fait tilt : si moi j’étais passé à côté de ça, alors beaucoup d’autres aussi.
C’est comme ça qu’est né Mymésis.
Pour partager ma passion de l’art Pokémon — mais aussi pour rendre le Japon accessible, à prix doux, sans prise de tête.
En plus de proposer des displays au meilleur prix, on a voulu aller plus loin.
Avec les Myméball, on a créé un support unique pour sublimer vos cartes préférées — et les admirer tous les jours, comme des œuvres à part entière.
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